Mes visitandines |
Des années plus tard, installée à la campagne et mes excursions en ville étant très rares, je me suis lancée! En naviguant sur internet, en faisant des essais, j'ai enfin trouvé LA recette qui me redonne le goût de ces merveilles. L'avantage de cette recette est multiple, elle est ultra simple, elle m'aide à écluser mes blancs d'oeufs et fait le bonheur des hommes de la maison!
Ingrédients:
2 blancs d'oeufs (soit 80g environ)
40g de poudre d'amandes
40g de farine
80g de sucre
60g de beurre
pincée de sel
Préparation: 10 min
Cuisson: 10min à 220°C
Faire fondre le beurre.
Pendant qu'il refroidit, mélanger la farine, le sucre, le sel, la poudre d'amandes et le sel. Rajouter les blancs d'oeufs (pas montés, comme sortis de l'oeuf).
Rajouter le beurre, mélanger. On obtient une pâte ressemblant à une crème au beurre.
Verser dans des petits moules à muffins
Au four 10 min à 220°C
Dring, c'est cuit! Non ne vous précipitez pas dessus tout de suite... il faut les laisser refroidir...
Aller tiède c'est aussi délicieux ;o)...Lancez vous!
NB: Petite anecdote historique. les visitandines auraient été créées dans un couvent Lorrain par les soeurs de l'ordre de la Visitation en l'honneur du roi Stanislas de Pologne ( oui oui le même que celui de la place Stanislas de Nancy ;o)). Cette recette fût perdue puis remis au goût du jour par un pâtissier suisse au nommé Lasne au 19e siècle qui voulait satisfaire la gourmandise de ses nombreux clients financiers.
Il réalisa donc cette recette sous la forme de petit lingot...et on l'appela "financier".
Joyeux Anniversaire et félicitations pour ce blog ! je me lèche les babines à chaque visite !;-)
RépondreSupprimergrosses bises Audrey
Merci ma belle!! Je suis contente que cela te plaise!! J'y passe un peu de "bon" temps.... c'est mon cher et tendre qui rigole car je prends tous mes plats en photos.... la jap de la photo culinaire c'est moi!;o))
SupprimerLes visitandines de Lisou m'ont rendu visite dimanche pour mon anniversaire, un régal pour les yeux, elles pétillaient et pour la bouche elles fondaient avec une douceur infinie.
RépondreSupprimerMerci à Lisou une fée des douceurs.